Histoires autour du feu

Nous voici au point du jour, la caravane a trouvé un campement pour la nuit. l'endroit est calme et semble sure. La rivière non loin amène ses clapotis jusqu'à nous et une legere brise souffle et fait fremir les feuilles des arbres.
Tout le monde est occupé à ses corvées journalières et à mettre en place le campement avant qu'il n'y ai plus aucune lumière.



Enfin le feu est allumé, les lits sont fait, le gibier est en train de rotir sur le feu et les futs de bière sont pret a rendre leur contenu. Les armures solides et encombrantes ont été délaissées pour la nuit et les armes posées à portée de main. Les renégats peuvent enfin se détendre et se reposer.

Ce soir c'est mon tour de garde, je veillerais a la sureté de tous pour qu'ils passent une nuit tranquile. Mais avant il est l'heure de manger, s'amuser et passer du bon temps autour du feu de camp. Nous sommes friants d'histoires. Epiques, amusantes ou meme tristes, notre petite communauté en a des centaines a raconter,

"Il me faut une histoire pour occuper mes pensées et eviter que je m'endorme cette nuit. Vous les aventureux et intrépides, je me demande bien quelle fut votre plus grande frayeur ...."

Lettie se lève et remet une buche dans le feu, une gerbe d'étincelles s'envole, puis elle se rassoit pres de Kassha serrant sa couverture autour d'elle. Une fois installée elle regarde l'un après l'autre ses compagnons et comme aucun ne fait mine de parler elle ajoute:

"Je vois qu'il vous faut encore un peu de bière, amenez vos verres que je les remplisse!"

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Une page de forum dans le but de mieu apprendre à se connaitre. le but du jeu est d'aider celui qui monte la garde à rester eveillé en lui racontant des histoires. Le veilleur choisi un theme ou une question: là j'ai choisi "votre plus grosse frayeur". chacun à le droit d'y repondre ou pas et personne n'est forcé de participer, mais si personne ne raconte d'histoire le veilleur s'endort et le camp se fait attaquer pendant la nuit.

Si vous voulez savoir quelque choses à propos des membres de la guilde vous prenez alors le tour de garde et posez votre theme. je propose de laisser tout de meme un theme pendant 5 jours minimum pour que tout le monde ait le temps d'y répondre.

les reponse se basent sur votre vie IRL mais avec une tournure roleplay. (exemple: l'aventure épique de Salade dans la meme section du forum )

J'attends vos réponses ^^

Wall s'approche avec son verre est s’exclame : " remplis moi tout sa et tu auras ton histoire !"
Une fois la chope pleine il commence :
" alors alors ...tiens je repense a une fois qui n'avait pas manquer de me faire peur ! c’était il y a maintenant un peu moins d'une année que ces fait ce sont passé. j'avais reçus une message anonyme alors que le soleil n'allait pas tarder a ce lever m’annonçant ma mort prochaine et divers autre souffrance. Evidemment, je ne voulut pas inquiéter qui que se soit de cette stupide provocation. Mais au deuxième message je ne put m’empêcher de bien m’inquiéter vis a vis de ce mécréant. J'en informa alors mon mentor qui tous de suite alla prévenir la garde du lion. Ceci m’envoyèrent presque balader, et ne me prit au sérieux un seul instant. Plusieurs message suivirent, que dans ma grande couardise j'ignoraient. Ceci cessèrent, et il n'y eu aucune des menaces misent a exécution, malgré tous encore aujourd'hui une boule me prends au ventre quand je vois un inconnu qui tente de me joindre. Pathétique pour le fier guerrier que je suis n'est pas ?^^ Ah oui ! je n'ai jamais su qui m'avait envoyer tous ceci.
Bon je ne sais pas si on peut qualifier cette histoire de "plus grande frayeur", mais se a quoi j'ai pensé.
Tous sa m'a donner soif ressert moi encore je te prit !"

Wall retourna s’asseoir.

Lettie prends la choppe de Wall et la remplie.

"Je comprends ton angoisse Wall, tout le monde a peur de la mort....Le fait d'etre menacé à du te garder dans un état de stress et d'anxiété pendant un moment, t'empechant de bien dormir ou de profiter de la vie.
Voila pour toi"

Elle lui tend le récipient plein a raz bord. Un peu de liquide coule sur sa main qu'elle essuie sur le gilet de Wall. Puis elle dit en rigolant :

"Ca te portera bonheur! haha! Ne me verse pas ton verre dessus, ce serait du gachi!! Va plutot décrocher la viande du feu elle à l'air prète..."

*tousse tousse*

C'est l'histoire d'une dame et d'un homme vêtue modestement, de mes parents et de la grande faucheuse, mais je ne peux raconter cette histoire avec ma gorge sèche de cette chaude journée ! Sers-moi donc à boire et je partagerais l'horreur avec vous !

*Lettie remplie la chope pleine de question sur cette mystérieuse histoire puis retourne s'assoir au coin du feu*

C'était-il a maintenant 6ans, tout commence avec mon entrée dans la seconde partie de l'école des maitres archers... Une dame s'occupée du respect des règles, mais à sa manière, peu à peu je sentais mes force disparaitre avec elle. 2ans et quelque mois de lutte après notre rencontre, je finis par craqué, incapable de dire un mot sur ce qui m'arriver, mon esprit était des plus troubler, on me traita de fou, on disait de moi que j'étais incapable de quoi que ce soit, que j'étais perdu, et je fis la rencontre d'un homme des plus horrible que s'occupé des cas comme moi.... 1an après toute ses accusations, on m'enfermé sous les ordres du ministère.

Mes parents on était jugé incapable de s'occupé de moi, j'ai passé 2semaines enfermé, sans eux, sans personne... C'est là que je vis pour la première fois la Grande Faucheuse, de mes propres yeux lourd des drogues diverses que l'on m'avait injecté. Elle était mince, vêtue de noir et portée sa grande faux à la main droite, un livre dans l'autre main, elle me regarder fixement, et cela dura 7jours et 7nuits puis elle se plaça à côté de moi, mit son livre sur ses genoux et l'ouvrit. Mes amis étaient là, ils étaient tous là, avec leur sourire et leurs rires, les photos de nos aventures pendant les grandes parties de chasse de juin.

Ses images me remplir de joie et d’espoir, et depuis ce jour, je remonte la longue pente de laquelle je suis tombé il y a si longtemps maintenant...

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Hors de l'histoire, c'est une des raisons pour lesquelles je ne suis pas très bavard avec les personnes autres que mes amis très proches, voir complettement absent. Je suis vraiment pas très alaise avec la foule ou en discution "instantané" (orale ou écrite dans un tchat comme celui IG par exemple).

édit : après relecture, je vois que je suis un peu sorti du RP et j'en suis désolé

Royä se leva pour goûter aux délices de l'alcool, et se servit une choppe de bière.

Le feu commençait à perdre en intensité, Elle traça quatre signes autour du feu pour garde sa force pour cette nuit froide.

Mon peuple ne connaissait pas encore la mort et les peines qui vont avec, mais depuis la guerre on commence à apprendre la signification des mots "souffrance", "douleur" et "peine".
Mon histoire concerne mes premiers jours de mon existence. Cela se passe pendant une sortie de découverte avec mon maître Ulgo dans la Forêt de Caledon.


Le contrôle des éléments se fait grâce à la maîtrise de soi, la leçon du jour était portée sur le feu. On avança et j'essaye de faire sortir une flamme, mon maître me disa " On va commencer par la peur!!". Il était sadique et il était réputé pour ses cours "spéciaux".
Il m'enferma dans une prison de terre et invoca un élémentaire de feu dans la prison avec moi.

Sa voix prononça les mots suivant " As tu peur?" " Sens tu la mort te frôler?". Son élémentaire essaya de me tuait précisément trois fois. La quatrième j'ai cru que c'était fini de moi. J'était immobilisée dans une colonne de feu et la peur prit le dessus sur moi, j'avais perdue contrôle de mon esprit et de mon corps. Des flammes bleues avaient détruient la prison, anéantit l'élémentaire de feu et blessa mon maître.
Quand je repris le contrôle, mon maître ria et tremblait de tout son être. Il était blessait, une brûlure recouvrir son bras gauche et une partie de son épaule. Tout en se soignant, il grava les mots suivants en moi : "Tu causare la perte de tes compagnons et de ton âme".

Depuis ce jour, je me suis concetrée sur la maîtrise du feu et j'essaye de ne pas ressentir une aussi grande peur. Je n'ai pas envie de blesser mes compagnons. Je tiens trop à vous tous ici!!

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Voici une mésaventure qui est inspiré de faits en irl mais version RP et de façon plus subtiles.
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Elle créa un abris robuste et isolé par le froid assez garnd pour que tout le monde puis y dormir le moment venu.

*s'avance*
enveloppe Ydilie d'une couverture en fourrure et le console
fais une tape amical dans le dos de Wall
bois une gorgé à sa bouteille de vodka

"Tu demande quelle est notre plus grande frayeur ?"
*songeur*

"Je ne parviendrais pas à retranscrire mes plus grandes craintes mais je me souviens d'une belle peur que j'ai eu il y a au moins cinq ans de cela...

Nous étions avec des compagnons à un chapiteau non loin d'un immense pont, les jongleurs s’entraînaient pour la futur représentation, car tous étaient des disciples de l'art du cirque.
Moi et mon meilleur ami, un dénommé Bide, étions à la recherche d'une occasion pour partir en vadrouille dans la ville à la recherche de bières.
Nous étions jeunes et la liberté semblait quelque chose de nouveau tout comme l'occasion de pouvoir picoler en cachette !
Et voilà que nous délaissons nos compagnons au chapiteau pour marcher dabord à la recherche d'un magasin puis d'un bar.
En chemin un adolescent de notre âge nous interpèle, il a un skate avec lui.
"Sa vous dit d'acheter mon skate ? Il est en bon état !" nous propose t il.
Nous rigolâmes puis refusâmes poliment. Nous n'avions pas la somme escompté pour acheter le skate et notre quête de bières semblait primordial.
Voilà qu'après plus d'une heure de marche nous trouvons en fin un bar, nous pénétrons à l'intérieur et demandons au tavernier de nous vendre six bouteilles.
Nous repartons avec notre gain, heureux que l'on ne nous ais pas demandé notre carte d'identité...
Nous nous posons sur un banc, décapsulons nos bières, et nous buvons joyeusement...
Quand soudain, quelqu’un s'approcha...
C'était un homme, il portait un long manteau, un béret, une canne dont le pommeau représentait un crâne argenté, et de son autre main il tenait par la laisse un molosse.
Nous voyans avec nos bières sur le banc, il s'approcha de nous.
Je jetais un regard à Bide plein de significations "je le sens mal mec".

L'homme nous annonça s'appeler Joe la Cartouche (ou Joe la Gachette, la version diverge selons mes souvenirs et ceux de Bide), il était un gitan dresseur de chien, il avait selon ses dires djéà tiré sur un flic, et sa chienne qui était avec lui se nommait Xéna.

Au départ il semblait amical en se vantant d'être le plus parfait caïd. Puis il nous a demandé si nous avions de l'argent. Pour nourrir Xéna expliqua t-il. Je fis non de la tête car en effet nous avions tout dépensé en bières.
Cela allait for ressembler à du racket quand il dévisagea Bide en écarquillant ses yeux torves.
"Je te reconnais toi ! Tu es l'enculé de skateur qui m'a fait un fuck dans le tram ! Oh putain fils de p**** j'vais t'égorger !"
Je tremble de peur.
J'imagine ce qu'il se serrait passé si Bide avait bien eu un skate avec lui...
Je me lève en tentant d'expliquer que sa ne peut pas être lui, qu'on vient d'un petit village et qu'on est que rarement dans citée.

Bide finit par montrer sa carte de lycéen à fin de se justifier.
Joe la Cartouche se calme.
On a eu chaud.
Il nous taxe deux bières puis s'en va non sans nous remercier et ajoutant "Si vous avez un soucis les ptits gars dites que vous connaissez Joe la Cartouche !"

Nous restâmes un moment stupéfait de cette aventure avec mon comparse.
En rentrant au chapiteau je cherchais l'ivresse pour oublier cette peur terrible qui m'avait assaillit. "

Lettie regarde le signe de feu que Royä à tracé songeuse en se disant que finalement elle à été bien épargnée par la vie meme si elle a deja eu son lot de mesaventures.
"Tout comme toi Roya je maitrise un élément qui par le passé a bien failli me tuer plusieurs fois. L'eau. Mais ce n'est pas encore le moment d'en parler.
Il se fait tard mes amis et je vais vous raconter une de mes plus memorable frayeurs pour cloturer cette soirée!"

Lettie récupère une de ses dagues posée sur le tonneau derriere elle. elle s'en saisi et tape fermement le tommeau contre le sol caillouteux. un petit monticule sort de terre, son versant est abrupte et rocailleux.

"ma mère avait pour passion les plantes et je l'aidai souvent dans ses recherches. Un jour, nous etions parties en bord de mer, celle qu'on apelle aujourd'hui la mer des lamentations pour ramasser des herbes parfumées servant a la cuisine. Nous marchions a flanc de falaise au dessus des eaux bouillonantes sur un sentier escarpé..."

Tout en parlant elle ajoute deux petits cailloux sur le haut de l'élévation de terre.

"le vent toujours présent dans ses régions etait assez fort ce jour la si bien que je perdis l'equilibre. Et commencais ma degringolade incontrolée et incontrolable de la parois rocheuse dont sortais maints rochers et buissons épineux. je roulais, roulais et la seule chose que je pouvais faire etait de me proteger le visage de mes bras. Je suppose que ma chutte ne fut pas longue mais j'en ai un souvenir interminable alors que j'entendais ma mère crier mon nom...."

Elle poussa alors un des cailloux du bout du doigh, qui dévalla la pente et quand il fut presque sur le dernier rebord rocheux elle posa alors sa main en haut du monticule ce qui immobilisa le caillou en bordure de falaise.

"puis ma course folle s'est arrété, en dessous de moi des roches pointues sortaient de l'eau et je m'en suis sortie avec quelques égratignures seulement."

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le prochain veilleur fais une conclusion a cette soirée et une intro pour la prochaine. pas besoin de faire un roman mais planter le décors, inventer une petite situation est sympa.

si personne n'est volontaire d'ici 3jours je designerais qui le sera ^^


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Le compte a rebours est terminé je désigne Tosse pour être le veilleur !

*rougis*

C’est un grand honneur que d’être le second veilleur mais le temps me manque pour écrire dès ce soir, il faudra attendre jeudi dans la soirée (pas avant 20h à mon avis)

Les premiers rayons de soleil percent le ciel quand la caravane reprit sa longue route à travers la Tyrie. Il fait une bonne température mais un vent venue du nord nous glace les mains.

Après une journée de chemin, et un arrêt dans une taverne pour refaire nos stock de bière et de nourriture Assilki demande à poser nos sacs et planter nos tentes pour cette nouvelle nuit.

Chacun commence à vaquer à ses occupations après que le soleil se soit coucher quand tout à coup Ylidie remarqua un vieux bâtiment derrière les arbres.

" Vous ai-je déjà raconter comment m'es venue cette passion pour l'arc et les flèches ? Si vous voulez la réponse vous allez devoir me dire comment en êtes-vous arriver à aimer les choses qui vous passionne le plus"

Un tonneau s'ouvrit et la boisson commença à couler dans les chopes

Royä qui s'était allongé pour faire une petit sieste, se réveille en étendant le mot "passion". La phrase qui sorti de sa bouche était : "Je vais tout cramer..."

Elle reste allongeait sur son lit de feuilles. et se tenant la tête.
Je vais vous expliquer mon adoration du feu.
Depuis ma mésaventure avec mon maître, j'ai appris à le maîtriser et maintenant c'est une part de moi. J'aime ce qu'il peut me procurer comme sensation : Joie, Envie, Colère , Haine, Agressivité... Mais surtout de la passion!!!
Dès que je me mets en symbiose avec le feu, mon être s’amplifie de passion et à certains moments je me contrôle plus trop.
Assilki à parfois peur car je me mets à tout cramer mais c'est quand je m'énerve.
Un jour mon corps entier sera du feu.
Royä avec sa magie créa une représentation de ses propos.



Et vous? Votre passion?

Assilki prit sa pipe.
Il y avait dedans comme à son habitude les herbes chamaniques et son esprit s'envola aux lointains...

Assilki regarda le petit asura qui regardait avec attention son arc, inspectait ses flèches, Letti assise prêt du feu en souriant , Roÿa le regard perdu dans les tourbillons incandescents. Allaient ils savoir monter la garde alors qu'ils avaient l'esprit déjà embrumés ...
Mais peu importait.

La lune était ronde cette nuit dans le ciel. Le vent ne parvenait pourtant pas à venir éteindre le feu qui veillait au sein du camp. C'est alors que surgir des ombres fugitives. C'est du moins ce que Assilki avait cru voire. Il n'y voyait plus très claire. Il jeta un coup d'oeil sur sa gauche. Car du bâtiment derrière eux se terraient une bande de brigands. C'étaient des krytiens omis un asura et un charr , pour la plupart des gardes du Ministère, mais ils étaient liés par les affaires avec la pègre et erraient détrousser les voyageurs.
Ils avaient errer des heures sur la route et en voyant les voyageurs ils avaient vue là une aubaine.

Ils étaient sept. Quatre portaient des armures aux écussons bleu de la garde du Ministre Landon, trois armés d'épée, le quatrième d'une lance. Des trois autres, l'un était un noble qui craignant de perdre un gros héritage c'était reconvertit parmi les malfrats, triste paradoxe qui l'avait amené à cotoyer : Gim Blik un agent de l'Enqueste qui faisait passer des armes et Zohak , un Assassin de l'Ombre de la Légion de la Flamme, qui avait fuit les guerres à la Citadelle...
Il était un tueur volatile comme la fumée et on le savait sadique. Sa passion était le meurtre de la beauté. Car lui ne voyait du feu... que sa destruction.

Un bruit dans les broussailles. Le murmure du feu. La lune observatrice ? Les ombres qui venaient de passer devant le feu du camp... Ce fut un réveil teinté de stupeur... Mais la peur ne pouvait venir, après tout n'étaient ils pas une Caravane ?

Ydilie bondit en avant, et de son arc tira ses flèches avec précisions sur chacune des quatre premières cibles qui se déplaçaient en tentant vainement d'être furtif. Le feu du camp les avait divulgué comme le phare de la terre tranquille sur laquelle flottait leurs récits...

Les quatre gardes du Ministre Landon moururent. L'un d'une flèche dans le coeur, sa côte de mail avait explosé sous l'impact et la flèche perforé l'organe vital. Une autre avait percé l'artère d'un bras, et fauché au passage le troisième à la gorge. Le quatrième voulut réagir, pointait sa lance et obsvervait aux alentours. Puis ses yeux se posèrent sur une petite asura qui lui fit un large sourire. Il écarquilla les yeux et tomba la tête la renverse, la flèche planté dans son crâne finissant de souligner la retombé rectiligne du corps.

Kys avait fait apparaitre son armée d'illusions, des reflets de femmes aux éclats de blés vêtus d'une tunique blanche lumineuse apparurent. Gim Blik prit sa télécomande à Golem 13 Stamp. C'était le golem qu'il avait créé. Sa fierté, l'oeuvre de sa vie... Il s'agissait d'un robuste golem qui disposait de la capacité de tirer par projectiles ou par vapeurs, un poison, parfait... car l'asura était passioné par les armes. Assilki lui était encore sous l'effet de ses herbes chamaniques, il n'avait vu que quatres ombres s'effacer au loin, des illusions lumineuses apparaitre, les projectiles enflammés descendaient dans le ciel. Tout cela reugissait. Une ombre passa, il ne l'avait pas vu. Il s'agissait de Zohak. Armée de ses deux poignards d'étouffement, il allait planter ses lames dans le torse du norn. Il était nimbé des voluptes de fumée cendreuse. C'est lui qui reconnut dabord les Renégats.

"Putain Gim ! Je les connais !!! Barrons nous de là et vite !". L'asura avait déjà envoyé son golem à l'assaut. Un paladin en armure rouge et noire, un casque à ailes sur la tête souleva le petit asura et songea qu'ils n'avaient pas eu de chance lui et son acolyte.
Tandis que le Golem 13 Stamp déboulait au milieu du camp, ses canons armés, de la fumée verdâtre s'échappant par les valves, tandis que ses petites pattes de fer s'agitaient, un vent souffla.

Les flammes vacillèrent, et tous purent voire les ombres devenirs subtiles, comme si quelque chose se dispersait dans l'air. "Tous aux abris !" s'écria Letti en faisant jaillir du sol des jets d'eau revitalisant pour déjouer les aléas du gaz. Minuit, l'Ours d'Emelia Michaud, l'éclaireur le plus réputé des plaines de Gendarran, était en train de planter ses dents dans le corps de Zohak. Il avait un air réjouit comme si la bataille allait lui ouvrir l'appétit. Assilki c'était déjà transformé en loup, et se jetait en avant vers le gros machin en fer qui bougeait. Il ne savait pas trop ce que c'était... Il venait des lointaines Cimefroides.

Le Golem 13 Stamp détecta le saut du loup vers lui comme un indice de ménace critique pour 80% de sa carapace métallique. Les risques étaient la désintégration. Dans ce cas là, il y avait un programme que Gim lui avait incorporé : l'anéantissement de tout ce qui se trouvait dans les parages. Son double canons à déglutition de plasma de limon de la canopée alla se délencher quand une autre flèche transperça les airs. Bouya était à côté d'un Moa Noire qui dansait sur une seule pate sans se soucier de ce qui se passait, mais son maître sylvari avait lui localisé l'unique oeil dont était pourvu le Golem.

Le Golem 13 Stamp se disloqua.

Le loup-norn tomba à la renverse , planté là, face au feu comme un cauchemars sortit de son songe. Il planta ses yeux dans les flammes et poussa un hurlement à la lune. Il allait surement rejoindre Minuit pour son festin.


**

Je me souviens du premier livre que j'ai lut.

C'était un gros livre. Sa s'appelait "Artemis Fowl"... c'est après avoir lu tous les livres que j'ai fait ma première rédac réussit en français ^^
humph'

c'était d'Eoin Colfer ...



J'aimais bien la forme et l'aspect du livre...
et puis y avaient des inscriptions bisarres écrites à chaque fois x)

les personnages étaient plutôt attachants ^^

voici le résumé qu'il y avait derrière

"NOm : Fowl
Prénoms : Artémis
Age : 12 ans
Signes particuliers : une intelligence hors du commun
Profession : voleur
Recherché pour : enlévement de fée et demande de rançon

Appel à tous les FARfadets, membres des Forces Armées de Régulation du Peuple des fées : cet humain est dangereuxet doit être neutralisé par tous les moyens possibles."

si sa se trouve ils vont l'adapter en film et ce jour là je serrais dégouté ^^
c'étaient les premiers personnages auxquels je me suis attaché xD

( hors RP, j'adore ce bouquin et il fait aussi partie des premiers que j'ai lut)

Alors qu'Assilki courait vers son repas, Lettie se detourna du spectacle sanglant qu'offraient les deux bêtes redevenues sauvage, appellées de leur instinct et de leur faim. Toujours sous le choc de l'attaque elle regarda autour d'elle.... Le camp etait sans dessus dessous et les renegats avaient mit autant de pagaille que leurs agresseurs. Elle avait elle même noyé le feu que Roya essayait de faire revivre, quelqu'un avait fait tombé leur reserve de viande séchée pendant le combat et Zohak avait laissé un trou béhant dans la tente supposée les habriter du vent.
Ylidie ramassait ses fleches eparpillées, Hamilcar faisait des blagues douteuses sur leurs capacités a se défendre et Bouya étudiait le monstre de fer qu'il venait de terrasser. Leur soirée tranquile etait foutue et ils dormiraient tous tres mal cette nuit. Aux aguets, par crainte de représailles.
La pipe de Assilki etait brisée et délaissée sur le sol. En la ramassant elle se rendi compte qu'elle etait seulement déboitée et remit le tuyau de la pipe dans son emplacement. Elle la posa ensuite sur la pile d'affaire du Norn. Puis elle se rendit aupres de sa soeur Norn en quete de réconfort, se pelotonnant contre elle.

"Kassha plus j'y réfléchis et plus je me dis que je n'ai pas de réelle passion." Elle marqua un pause pour réfléchir puis ajouta: "Même si j'aime beaucoup de choses et ai beaucoup d'envies rien ne correspond à cela...."
Elle replongea ses yeux dans le feu revigoré et remercia Roya de la chaleur qu'elle leur apportait.

Bouya rejoint Assilki, lui montre le gros poisson qu'elle a pêché dans le Détroit des Gorges Glacées, et lui demande de lui prêter sa pipe aux herbes chamanique.

Après une profonde inhalation du contenu de la pipe qui a tout de même un aspect douteux, Bouya commença à parler avec un peu tout le monde des trouvailles du jour. Elle ne manqua pas d'objectivité dans ses propos :

"Hoy hoy ! Aujourd'hui j'ai été prisonnier de la zone où il y a beaucoup de Couvegivres au Détroit..."

Les rénégats la regardèrent bizarrement.

"Je voulais un caillou précieux, mais ces foutus golem n'était pas en mesure de me le donner, j'ai donc fait un génocide de golem tout l'après-midi..."

Bouya ouvrit son sac, puis le retourna. Des centaines de fragments de glace corrompue sont désormais à côté du feu de la caravane. Assilki hocha de la tête et se demandait ce que Bouya allait faire avec tout ces... débris ?

"C'est tout ce qu'ils m'ont donné. Mon sac était plein, je n'ai pas pu emporter plus."

Assilki demanda à Bouya l'intérêt de la manoeuvre

"En réalité, je veux faire un super carquois trop cool, et le problème, c'est qu'il me faut des griffes de colosse couvegivre. Mais ils sont têtus, ces bouts de glace, ils ne veulent rien me donner, même mort."

Tout à coup, Baveux, le Drake des Marais de Bouya, s'agite.

"Que t'arrive-t-il ?"

"Gwouwouwou..."

Assilki demanda la traduction à Bouya.

"Je pense qu'il veut manger des moustiques. BREF ! J'ai eu le temps de pêcher un gros poisson cuirassé, il m'avait pas l'air mauvais, j'ai goûté sa nageoire droite. Et si on le cuisait sur le feu ?"

Assilki trouvait l'idée réjouissante, bien qu'imaginer Bouya manger du poisson cru sorti de l'eau froide le perturbait.
Pendant que le poisson était sur le feu, il chuchota à l'oreille de Bouya que Royä aimerait en savoir plus sur ses passions.

"Il fallait le dire plus tôt l'ami !"

Roya ouvra un oeil, puis se mis à genoux pour écouter Bouya.

"En fait, j'aimerai savoir ce qu'il se passe après qu'on fane, nous, Sylvari."

"J'ai du mal à suivre, les herbes chamanique d'Assilki t'ont peut-être fait trop d'effet..."

"Non, sérieusement ! Tu ne t'es jamais posé cette question ? On est des brindilles qui parlent, et ça, c'est vraiment un don de Dieu, ou plutôt de l'Arbre Clair. Mais une fois qu'on a fané, on fait quoi ?"

"Ta question est trop profonde Bouille à Bouya" répondit Assilki, "tu devrai t'endormir dans ton lit, la caravane t'attend."

Bouya s'arrêta pendant 5 minutes, pesa le pour et le contre de ce que lui proposait Assilki, et trouva que son idée était géniale. Elle fila donc au lit, montrant une fois de plus que notre Rénégat préféré a un pouvoir énorme sur le mental de Bouya.

Le Norn en profita pour manger une bonne partie du poisson que Bouya avait joyeusement ramené du Détroit.

Le temps passa, et l'aube vit le jour.

Toute la troupe se réveilla et se joint autour du feu pour manger un petit déjeuner avant de repartir vers de nouvelles aventures.

Après avoir traversé les Champs de Gandarran durant plusieurs jours, Assilki décida de poser la roulotte et toute la troupe sur la côte de la marée sanglante.
Une zone réputée d'être remplit de brigands et de morts vivants. Les Renégats construisent une sorte de rempart de terre très robuste à l'aider de Lettie et de Royä deux élémentalistes très puissantes. Bouya posa plusieurs pièges autour du camps. Assilki vérifia les vivres et s'installa au fond de la roulotte près des herbes chamniques et de sa pipe mystèrieuse.
Chacun avaient un rôle en cas de problème.
Après le stresse et la pression redescendue, les festivités pris part.
Les Sylvaris , les humains, les norns, les asuras et les charrs de la troupe se rassemblèrent pour danser autour du feu.
La bière colla à flot, la viande aussi.
Quand d'un seul coup Royä se mit à chanter, la catastrophe!!!
La pauvre petite est certes douée dans la maîtrise des éléments de la nature mais pas dans le chant.
Tout le monde pris limite peur à écouter les mélodies étranges qui sortaient de la bouche de Royä.
Au bout de quelques minutes cette torture prit fin.
" Qu'est ce qu'il y a? Vous avez l'air d'être malade? Je chante faux peut être?"
Un rire éclata de l'ensemble de la troupe. Et les festivités repris.

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Avouez nous votre pire talent.
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Assilki était sortit de sa roulotte et c'était assis sur les rebords de la plage non loin. Il était en tailleur, jetait des cailloux dans l'eau et les voyait disparaitre dans les fonds. Les ondulations à la surface lui faisaient penser à des bouches liquides qui s'élargissaient avant de s'estomper.

Il jeta une pierre particulièrement grande et le "plouf" laissa place à un long silence. aucune ondulation ne vint cette fois suivre la descente du projectile. Mais des petites bulles se formèrent. Assilki, surprit, se leva, s'approcha, les pieds dans l'eau.

Une énorme gueule déformé par des crocs grisâtres sortit alors. C'était un énorme requin revenant, sa nageoire dorsale éperonnait les eaux comme une lame transperçant la mer. La bête monstrueuse se jetait droit en avant, ignorant le peu de profondeur qui viendrait ralentir sa nage. Après tout la créature n'avait plus rien de vivant. Le requin était pervertit par la corruption de Zhaïtan.

Assilki poussa un juron norn particulièrement vulgaire que je retranscrirais pas ici et s'en alla rejoindre le camp à toute allure. Ses camarades le dévisagèrent à sa mine terrifié.

"Tu parlais de notre pire talent Roya" fit il, le souffle légérement coupé, "je voyais là une absurde oxymore mais j'ai une réponse à présent..."

"M'attirer les ennuis."

5 heures. C'est le temps qu'a mis Bouya pour entourer la caravane de pièges à pointes empoisonnées. Elle s'était faite quelques égratignures à cause des pointes; ces plaies semblaient contenir quelques gouttes de poison, mais étant donné que la jeune branche trouve toujours le moyen de se faire des blessures gratuites, elle doit sûrement en être immunisée aujourd'hui.

Bouya se souvint de l'échec aux côtes de la marée sanglante : la caravane était repartie, mais les pièges se sont déclenchés sous ses roues... Il fallut plusieurs jours pour remettre la caravane en état. En effet, les pièges ont littéralement troué le plancher de la caravane et déchiré les rideaux et les photos qui ornaient l'intérieur.

Cette fois-ci, la situation était différente. Non loin de l'endroit favori de Bouya, dans le Détroit des Gorges glacées, la caravane se situait entre 2 grandes falaises gelées, qui ressemblait plus à une énorme crevasse qu'autre chose.

La jeune Sylvari se laissa donc emporter par son élan de bonne humeur et commença à tuer beaucoup de colosses. Ses camarades l’appelèrent, mais cela restait vain; maintenant qu'elle était lancée dans sa courageuse épopée, nous ne pouvions plus la sortir de là.

La caravane doutait réellement de l'efficacité de Bouya, étant donné le nombre incalculable d'heures qu'elle passe là-bas. Il se pourrait même qu'elle fasse passer son petit égoïsme avant la guilde...

mon pire talent tu dis ? mais je pense que ici tout le monde le connait, il m'a couté toute ma bourse ! vous souvenez vous de la fois ou nous avions fais une halte a shaemour ? je me souviens qu'il y avait un beau forgeron qui ne me laissa pas indifférente, et kys non plus.... elle etait alors venu me voir un me proposant un pari, celle d'entre nous deux qui arriverait a avoir ces faveurs remporterait l'integralité de la bourse de l'autre. sur de mes chances j'accepta tout de suite. malheuresement, kys savait que pour danser, je suis aussi doué qu'un charrs pour reflechir, et elle alla donc de ce pas offrir un joli danse a ce jeune homme, qui n'avait d'yeux que pour elle apres.
vous l'aurez compris danser se n'est pas mon fort !

La caravane reprit sa route vers de nouvelles aventures.

Un village fit son apparition après quelques kilomètres de marche. C'était un jour de festival. Le village était décorée avec miles fleurs et autres décorations.
La troupe intrigué par ces festivités entra dans le village.
C'était le festival de la moisson. On y célèbre les divers dieux pour avoir une bonne moisson autour de la fête. Royä demanda à un villageois combien de temps duré ce festival. Celui ci lui répondu une semaine et il reste environ 4 jours avant la fin de cette célébration de la moisson.
La bière coulait à flot, la nourriture diverse soit telle était aussi de la partie, de la musique et des femmes de joies...
Tout pour plaire aux renégats.
Les femmes de joie vu les hommes de la caravane, elles les embarqua dans une folle danse et séduction corporelle.
Cette évènement obligea à la troupe à s’arrêter et de profiter de ces jouissances que proposer ce village.

Durant 4 jours tout le monde profita du festival.
On y découvrit des faces cachées de certaines personnes de la caravane.
Royä était alcoolisé et n'était plus elle même. Elle se perdit dans les bras d'un jeune sylvari du village.
Quand aux autres membres, Royä les vis festoyer avec nourriture, alcool et bonnes compagnies.

Royä: " Héé..... héééhoo....... Vous faites quoi? "

Malheureusement les renégats ne sont pas souvent les bienvenus, les habitants du village décidèrent ce soir la de se débarrasser d'eux et de récolter la prime qui couronnait la tête de certains des membres de la caravane. La mascarade fut bien montée et la tactique simple: les saouler et les empoisonner pour pouvoir les tuer sans difficultés par la suite.
C’était le troisième jour qu'ils passaient dans le village et la fête battait son plein, chaque jours de nouveaux arrivants accroissait la foule venue profiter de la célébration des moissons, rendant la fête d'autant plus chaleureuse et intéressante.
Après avoir célébré Melandru la déesse des moissons, lors d'une cérémonie lui rendant grâce en apportant toute sortes de présents dans son sanctuaire battit sur la colline, les villageois invitèrent tout les voyageurs à venir gouter leurs spécialités. La bière et les mets fins étaient abondants une fois de plus. Il n'en fallut pas plus aux renégats, la cérémonie leurs avait donné sacrément fin et soif!

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Vous avez tous des dés à la maison, non?

Je propose de faire deux lancés de dé: le premier pour décider si l'alcool va nous rendre ivre et le second pour savoir si on est empoisonné.
Une chance sur deux dans les deux cas: 1,2,3 vous êtes ivre ou empoisonné, 4,5,6 vous êtes sobre ou n’êtes pas empoisonné.
Assilki étant indemnisé contre l'ivresse ne tire qu'un dé, celui du poison.( oui il faut au moins un survivant sinon c'est pas drole!!!)

A vous d'adapter comme vous voulez les résultats en roleplay.

J'ai tiré et j'ai eu 4 en alcool et 1 en poison .... je suis donc empoisonnée!

Mais que va devenir la caravane !!!????
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Il n'etait pas très tard, la fête venait juste de commencer mais Lettie ne se sentait pas bien, la tête lui tournait, son ventre lui faisait atrocement mal et ses doigts commençaient a trembler. Elle devait avoir abusé de l'alcool et des aliments trop riches et maintenant elle etait malade! Ah quelle malchance, tomber malade en une telle occasion. N'y pouvant rien elle se décida à regagner le campement installé dans les champs en dehors du village pour se reposer. Elle croisa sur le chemin Wall et lui dit qu'elle ne profiterait pas de la fête ce soir et que si quelqu'un la cherchait elle serait à la caravane.

Elle emprunta le chemin de terre battue qui menait aux champs. Elle entendait toujours la musique et les rires provenant du village mais amoindris, le calme lui ferait du bien , son mal de tête amplifiait et martelait son crâne au même rythme que les battements de son cœur. Elle fini les derniers mètres qui la séparaient de la caravane en titubant et en ayant de plus en plus de mal à garder la tête droite sur ses épaules. Comment pouvait-elle être aussi faible? Ça ne lui était jamais arrivé! Elle n'avait jamais fait autant d'efforts pour se maintenir debout... Enfin la porte de la caravane était là. Elle tendit le bras pour l'ouvrir quand quelqu'un lui appliqua poussée forte à l'arrière du genoux . N'ayant plus de force pour se rattraper elle s'effondra comme un tas de chiffon, sa tête heurta la marche en bois et elle perdit connaissance.

Quand elle repris connaissance elle était ligotée et avait un bandeau sur les yeux ces deux agresseurs la portaient, l'emmenant vers un lieu inconnu. Elle était toujours incapable de faire le moindre mouvement et tout les muscles de son corps la faisait souffrir. Sa bouche était pâteuse et sa langue semblait avoir doublé de volume si bien qu'elle ne produit qu'un bruit de gorge lorsqu'elle voulut appeler a l'aide. Ceci incita les deux personne à faire halte et à la bailloner. Maintenant elle avait du mal a respirer. Bien, la situation ne pourrait être pire, c'était son seul réconfort. Elle espérait que ses compagnons remarqueraient son absence avant la fin de la nuit, ce qui était peu probable vu qu'il festoyaient tous au village. Le village... tout ce qu'elle savait c’était qu'elle s'en éloignait. Les bruits de la fête se faisaient de moins en moins audible.

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J'ai tiré 2 et j'ai tiré 1 donc je suis à la fois ivre et empoisonné, génial !
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Le bruit dû aux préparatifs de la fête s'entendaient. En effet, il était à peine 19 heures; le soleil commence à se cacher dans l'horizon, et le village devint de plus en plus animé. Non loin de celui-ci, il y avait Bouya, et Baveux bien entendu. Elle avait l'air perdue dans ses pensées. En réalité, elle se sentait vide. La semaine a été bien trop épuisante et frustrante pour elle. Aucunes bonnes récoltes, son carquois n'était toujours pas fini, et pour couronner le tout, elle veut changer d'arc. Il fallait qu'elle se reprenne, et c'est pour cette raison qu'elle se mis à la recherche de roseaux, afin de pouvoir les accrocher dans ses cheveux.
Pendant cette recherche quelque peu étrange, elle confia quelques paroles à Baveux :

"Cette fois, il faut que je me détente un maximum. Cette semaine a été bien difficile, je vais me mettre à l'aise. D'ailleurs, tu ne pourras pas m'accompagner dans le village. Ils interdisent les animaux de compagnie. Je te considère bien plus comme mon âme soeur, mais ils n'ont pas accepté cet argument..."

Baveux compris la situation. Il s'en alla en direction de la roulotte de Bouya. Elle commença donc à retourner à la fête.
Marchant en traînant un peu des pieds, la jeune Sylvari croisa Wall qui lui annonça la mauvaise nouvelle à propos de Lettie. Bien que cela lui fasse un petit choc, elle décida tout de même de continuer sa route vers le village.

Lorsqu'elle foula le pied sur le sol du village en question, elle ne croisa personne de la Caravane. Elle regarda donc parmi les petits groupes et découvrit un jeune Sylvari seul, qui semblait plutôt charmant. Elle n'osait pas le regarder dans les yeux, ce qui l'obligea à rester seule pendant une partie de la soirée. Celui-ci la surpris en train de le regarder, il décida donc de s'approcher d'elle. Plutôt content qu'il ait fait le premier pas, elle se rapprocha de lui au fur et à mesure de la soirée. L'alcool montait petit à petit dans son cerveau et se répandait comme un fléau dans son sang. Bien qu'elle tienne admirablement bien l'alcool, elle perdait petit à petit sa rigueur d'esprit.

Ils se mirent à l'écart et se dirigèrent vers la roulotte de Bouya. Ils croisèrent encore une fois Wall qui trouvait la situation terriblement douteuse, mais décida de ne rien faire afin de laisser à Bouya faire ce qu'elle avait à faire. La tension monta petit à petit à son comble. Tout semblait parfait, Bouya se sentait plutôt bien. L'ambiance enivrante la satisfaisait. Seulement, elle compris qu'il y avait un problème; tout se passait bien, et trop bien.

Le lendemain matin, elle se trouvait au beau milieu d'un champ de blé. Connaissant presque tous les effets des psychotropes existants en Tyrie grâce à son vieil ami Assilki, elle a vite compris qu'elle s'est fait droguée. Aucun indice ne lui permis de se remémorer la scène. Dans tous les cas, elle se convint bien vite que c'était des hallucinations. Cela lui rappela une certaine expérience vécue auparavant dont elle avait les souvenirs profondément enfouis au fin fond de sa mémoire.

Elle se sentait faible, et la bouche pâteuse. Après un bref diagnostic de sa santé, elle remit la faute sur le Sylvari. Elle essaya de se mettre debout, mais rien à faire, ses jambes ne répondaient plus. Ce n'est pas la première fois que ça lui faisait ça dans sa vie, mais bon, cela la mis en panique mentale. Que devait-elle faire? La vie semble bien triste à ce moment-là. Elle choisit de rester là à planer encore un peu, il s'agissait peut-être encore d'un rêve.

Assilki portait son manteau noire aux ailes rouges, son chapeau sur la tête, légèrement penché vers l'avant de son front, lui donnant la mine sombre. Pourtant ses yeux étaient brillants, à travers sa pupille dilaté l'on pouvait voire des flammes, celles du feu de camp, et derrières une sublime norn aux cheveux rouges et aux yeux verts. Elle dansait. Entre le décolleté qu'offrait son corset pendait un talisman, un cercle en cuire auquel était attaché des plumes noires. Parfois elle contournait le feu et venait se poser derrière Assilki lui murmurant les paroles de la chanson qu'elle déclamait tout en dansant .

"Le vent rugit, tiens moi contre toi
Mon amant tu vis, viens tout contre moi
Se perdent nos cris dans la vallée
Des hardes grises sur notre sentier

Le vent pleur, ramène moi contre toi
Le temps meurt, ramène moi contre toi"

Cela rappelait à Assilki les Congères d'Antreneiges, il était ému, tant par le chant, que par la danse voluptueuse que lui offrait la norne aux cheveux rouges.


Assilki en était là, buvant son hydromel, contemplant la belle danseuse, quand un sylvari s'approcha, il avait la peau couleur menthe, des yeux gris comme deux graines, il titubait légèrement. Il semblait ravis et avait le sourire aux lèvres. Il s'approcha d'Assilki tout en lorgnant sur la danseuse. "Voire pareille beauté peut se partager, pas vrai mon ami ?" fit le sylvari en riant joyeusement, une carafe à la main. "Je crains qu'il y est certaines choses qui ne se partagent pas... ami ?". Le sylvari fit une révérence "Je suis le comte Vilsève" je suis pour ainsi dire le promoteur de cette petite fête à laquelle vous assistez vous et vos amis." le sylvari se remit à rire joyeusement. "En voulez vous un peu ? C'est du miéla qui a été distillé à fin de donner un alcool très pur au goût tout à fair exquis ?" proposa le sylvari en fixant la danseuse qui se courbait, se penchait et ramenait ses mains le long de ses longues jambes.
"Non merci... laissez moi à présent, vous m'importunez petite herbe." A ce moment là le sylvari dénommé Comte Vilsève se mit à nouveau à rire. Mais son rire n'avait plus rien de joyeux. Il y avait dans son intonation quelque chose de terriblement perfide et menaçant.
Il sortit de derrière son dos une épée à la lame végétale, violette, dont la pointe luisait d'un liquide verdâtre. "J'ai empoisonné votre magicienne et le Commandant Landon va pouvoir en fin s’acquitter d'un entretient avec elle. Tu n'imagine pas la richesse que m'offre votre petite escapade !". "Il a fallut que tu donne tors à l'habitude qui pousse un norn à toujours accepter un verre qu'on lui offre, tant pis pour le poison, tu vas goûter à ma lame...".

Assilki se releva brusquement, sentant le menace. La danseuse s'arrêta net de danser, sentant que le visiteur de son ami était plus que belliqueux. "Le commandant Landon ?" articula le norn renégat en passant discrètement ses mains gantés sur ses poignards tout en reculant légèrement. "Vos têtes sont mis à prix n'étais tu pas au courant ? En fin la leur. Toi on demande juste ton exécution sommaire. Je ramène ta tête à Landon cela suffira pour qu'il m'offre en fin ce que j'attend.".

Assilki trouva triste que même lors d'une fête agréable que la traque perpétrait par le ministère contre les Renégats amène aussi violemment la fin des festivités. "Comment un sylvari a put en arriver à cela... se pervertir, empoisonner des voyageurs pour que Landon lui paye les primes ? N'as tu pas d'honneur ?". Le Comte Vilsève gloussa, on aura dit un saule tordu, ses yeux gris remuant comme des billes. "Tu ne sais pas à qui tu as à faire !" et il donna le premier coup, la lame venimeuse décrivit un coup horizontal qu'Assilki parvint sans mal à esquiver d'un bond en arrière. Il regardait l'embout venimeux et décida que sa peau ne devait surtout pas se retrouver éraflé par cette pointe sous risque de contamination;

'Mes camarades sont en dangers, qui sait combien sont les accolytes de ce Vilsève et s'il n'a pas déjà vendus des notres au gardes de Landon !' pensait Assilki à toute allure, il sortit un poignard et le lança en avant, la lame se planta dans la jambe du sylvari qui poussa un léger râle avant de se ruer en avant. Décrivant cette fois un coup à la vertical, Assilki roula sur le côté et de son autre poignard flanqua un coup au blanc du Comte Vilsève, celui se ramassa au sol comme une feuille morte.
"La Magicienne... Dis moi immédiatement où elle se trouve ?" fit Assilki en attrapant par le cou le sylvari qui semblait à la fois trembler de colère et de rage. "Par l'Arbre des cauchemars tu me le payeras tas de viande ! Tu me le payeras ! Je ne dirais rien !".


****

Deux opportunités s'offrait à Assilki,
1 : la torture pour faire parler le Comte Vilsève.
2 la persuasion en proposant rétributions contre l'information.
3 : trancher sans plus attendre ce pourceau et courir à la recherche de "la magicienne"

Pendant ce temps Lettie fut jetée dans ce qui aurait pu être une cave, il faisait sombre et humide et une odeur de moisi sortait du sac en jute contre lequel elle etait appuyée.
Elle resta là par terre, seule pendant un temps qui lui parut interminable. Elle essaya par tout les moyens de se libérer mais le poison qu'elle avait ingurgité (elle s'en rendait compte a présent) l'avait considérablement affaiblie. Soudain des bruits de pas,... plusieurs personnes approchaient, parlaient fort et semblaient être de bonne humeur.
La porte s'ouvrit et on vint lui enlever le bandeau qui l’empêchait de voir, mais elle ne vit rien de plus. La pièce était aussi sombre que le gosier d'un dragon. Soudain une lampe s'alluma et la flamme blanche éblouit la magicienne qui était restée trop longtemps dans le noir. La tête lui tournait et les ombres dansaient devant ses yeux.

Celui qui tenait la lampe prit la parole:
" Tien, tien voici notre premier renégat... Mais quelle chance mes amis, c'est un bien gros poisson que nous avons attrapé dans nos filets!" rire guttural.

Lettie connaissait cette voix, elle en était persuadée. La silhouette vint se placer devant elle et mit un genoux à terre pour pouvoir la regarder dans les yeux. son visage bien qu'a quelques centimètres du sien restait flou. C’était un Homme, l'autre dans le coin de la pièce était Charr et encore un Norn se tenait prés de la porte. Elle essayait de mettre de l'ordre dans ses idées quand il reprit:

" Dame Kwanda! Je suis ravi de vous revoir." Il observa attentivement le visage de sa prisonnière puis fit un sourire carnassier.
"C'est regrettable que vous soyez en si mauvais état, mes hommes ne sont pas tendres, ils ne vous ont pas trop malmenés j'espère? Je vois que vous êtes inquiète. Rassurez vous le poison ne va pas vous tuer, mais j'ai entendu dire qu'il est des plus efficace pour affaiblir et rendre complétement impotent la victime."
Il se releva et alla prés de la table se remplir un verre d'alcool. Il continua tout en sirotant la boisson.
"Je suis heureux ! Cela fait tellement longtemps que je vous cherche! Mais nos retrouvailles ne sont rien a côté de celles qui vont suivre. Que diriez-vous de vous entretenir avec votre cher père? L'homme que vous avez trahi et volé! Votre famille attend votre retour avec impatience. Enfin, c'est surtout l'objet qu'ils veulent. Votre père, le pauvre homme fut si humilié par votre attitude qu'il vous à fait passé pour morte lorsque vous êtes partie."
Ces dernières phrases la fit vaciller, soudain elle compris qui se tenait devant elle, le commandant Landon! Celui à qui son père l'avait promise avant qu'elle ne s'en ailles chercher sa liberté. Celui qui avait juré à son père de la retrouver. La tête lui tourna. La voyant faiblir d'avantage il enchaina de plus belle:

" Il s'agirait d'un objet très précieux parait-il, un trésor de famille. Une relique magique... Allons Lettie dites moi de quoi il s'agit et où elle se trouve?"
A ses mots il lui enleva le tissus qui lui couvrait la bouche. Elle ne pouvait toujours pas parler et même si elle le pouvait elle n'en parlerait jamais. Pour toute réponse elle tenta de lui cracher à la figure.

"Je vois que vous êtes toujours aussi charmante... Que vous coopériez ou non je trouverais cette relique, ce soir je mets votre caravane à feu et à sang. La richesse m'attends ma Dame! D'autres renégats attendent d’être cueillis sur le bord de la route, ivre mort ou dans le même état que vous...." Il acheva cette phrase avec un regard de dégout adressé à la magicienne, puis il sorti la laissant avec ses deux gardiens.

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Ceci est entièrement du role play evidement!!! =)